Wealth Of Mind vous accompagne dans vos résolutions

Combien d’entre nous souhaiteraient faire coïncider la page du calendrier qui se tourne et tourner une page dans sa vie ? Que ce soit au niveau personnel ou professionnel, la moisson de bonnes résolutions est toujours abondante les premiers jours de l’année.

Renouveau

« Je vais me mettre au sport », « je vais arrêter de fumer », « passer plus de temps avec ma famille », « être plus présent à la maison », « changer de boulot », « apprendre l’anglais », « être un meilleur manager », « être un meilleur collaborateur », « être un meilleur collègue », « être plus impliqué envers mes objectifs », « ne plus me laisser faire au bureau », « changer de look », et les fameux « Cette année je ne m’énerve plus » ou « Cette année je bosse et je m’y mets à fond« .

Il y en a pour tous les goûts, à toutes les sauces et dans tous les aspects de nos vies, portés par nos souhaits et envies et désirs. Tout comme sont bonnes les récoltes de bonnes résolutions abandonnées sur les bas-côtés du quotidien, moins de 2 mois après.

« Impossible de trouver le temps », « Avec la vie de fou qu’on a… », « Trop de stress au travail, impossible d’arrêter », « J’irai les voir pour les vacances », « On passera plus de temps ensemble ce été », « Avec les crédits je ne peux pas changer maintenant », « Pour apprendre il faudrait que je parte 1 an là-bas », « Je serais un meilleur manager si j’avais des collaborateurs moins *** », « Je serais plus sympa si mon chef était moins *** », « Nos objectifs sont irréalistes », « Ça ne sert à rien d’en placer une de toutes façons », « Avec mon boulot je ne peux pas me permettre de changer », « Je ne voulais pas mais ce sont eux qui me poussent à bout », « J’ai envie mais je n’y arrive pas… », et bien d’autres.

Les raisons, toujours bonnes, avancées pour justifier l’enterrement de ses résolutions existaient déjà lorsqu’elles avaient été formulées, et pourtant vous sembliez y croire. Comment expliquer que la ferveur des résolutions se heurte si brutalement à la froideur de la réalité et du quotidien sans pouvoir y résister ?

L’envie et la détermination sont présentes, au point de prendre ceux qui nous entourent à témoin, de lancer des défis, des paris à coup de « tu vas voir !« . La force mentale est aussi au rendez-vous pour se lancer dans ces changements dès le premier jour de l’année nouvelle. Alors que manque-t-il ?

La raison principale est le manque de sens. Donner du sens aux choses que vous faites, c’est leur donner vie.

Je veux arrêter de fumer car je souhaite préserver ma santé et donner le bon exemple à mes enfants qui me regardent au quotidien, et également par esprit de cohérence quand il s’agira à mon tour de leur interdire la cigarette.

Je veux passer plus de temps avec ma famille car c’est là que je puise mes valeurs et ma force, c’est là que je me ressource. Je souhaite profiter de mes parents et grands-parents tant qu’ils sont encore là. Ils peuvent encore aujourd’hui m’éclairer quand j’ai des doutes comme ils l’ont toujours fait.

Je veux être un meilleur manager car en développant mes collaborateurs et en les aidant à grandir je grandis également. Et ensemble nous atteindrons des objectifs encore plus élevés.

Le sens, le but, la raison pour laquelle nous faisons telle ou telle chose est ce qui nous permet de nous relever quand nous avons trébuché, c’est ce qui nous permet de continuer quand l’envie d’abandonner se fait jour, c’est la force qui nous aide à traverser les obstacles que sont le manque du fumeur, se lever plus tôt pour aller courir ou y aller après le travail, ou prendre le temps pour ceux qui nous sont chers.

Car tout changement est douloureux avant de pouvoir profiter des effets bénéfiques de nos décisions. On ne change qu’à son propre détriment dit-on, et c’est bien une réalité.

Une fois que vous aurez donné du sens à vos choix, agir dans la durée ne sera pas plus facile car les obstacles resteront les mêmes, sauf qu’ils ne feront pas le poids face au sens avec lequel vous aurez donné vie à vos décisions. Le pouvoir de décider de votre réalité et de créer votre quotidien vous appartient, vous êtes leader de votre vie.

Et c’est là le véritable leadership personnel en action. La vision pour décider de vos résolutions, le sens que vos principes y mettent et l’action. Sachant cela vous n’avez pas besoin d’un 1er janvier pour donner une nouvelle direction à votre vie. Un 23 mars, un 18 juillet ou un 24 septembre ou n’importe quel jour peuvent être le jour où vous exercez votre leadership personnel.

Comme Viktor Frankl, créateur de la logothérapie*, surmontez vos difficultés en vous fixant un but, car c’est la raison qui rend possible ce qui nous semblait inimaginable, et le pourquoi nous faisons les choses qui nous aident à fixer un cap et nous y tenir. Et soyez créateurs de votre quotidien.

* La logothérapie, du mot grec logos signifiant Esprit et Sens. La logothérapie c’est la recherche de la volonté du sens – par opposition à la volonté de plaisir de Freud ou la volonté de puissance d’Adler. La logothérapie veut indiquer à l’Homme sa possibilité d’auto-transcendance et de choix conscient vers ses valeurs supérieures.

Bruce Lee

D'accord, pas d'accord ? Partagez vos avis et expérience à ce sujet !

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

%d blogueurs aiment cette page :